lundi 27 septembre 2010

Festival Du Couscous




La Tunisie a gagné le prix décerné par le jury de la treizième édition du Festival du CousCous , le festival international de l'intégration culturelle de San Vito Lo Capo.

La recette de couscous et d'agneau, préparé par les chefs et Hajer Aroui Msoughi Ali (photo) est en effet le plus de voix parmi celles présentées par les neuf pays de la race, l'Algérie, la Côte d'Ivoire, France, Israël, Italie, Maroc, Sénégal et la Tunisie, selon l'avis technique du jury était composé de dix journalistes, chefs et experts culinaires et guidé par des organisations internationales.

La recette d'agneau et de pois chiches, raisins secs, raisins, poivrons, pommes de terre, les courgettes et les tomates, le piment et le curcuma est aussi, selon le raisonnement du jury, "un plat doux et riche avec un élément de quelques novateurs polis pour former un excellent cocktail de couleurs et de saveurs. "
La cérémonie a eu lieu à la place du sanctuaire bondé de San Vito Lo Capo, en présence du ministre de la Santé Ferruccio Fazio, président de la province de Trapani, Mimmo Turano et le maire de San Vito Lo Capo, Matthew Rizzo.

Pour consulter le site officiel du Festival cliquez ici

mardi 21 septembre 2010

Décès à Paris de l’islamologue algérien Mohamed Arkoun


D.R

Le professeur Mohamed Arkoun, grand islamologue algérien, fervent défenseur du dialogue entre les religions, est décédé mardi soir à Paris à l'âge de 82 ans, ont annoncé ses proches.
Professeur émérite d'histoire de la pensée islamique à la Sorbonne, le défunt était l'un des initiateurs du dialogue inter religieux.
Né en 1928 à Taourit-Mimoun (Kabylie), dans un milieu très modeste, il fréquenta l'école primaire de son village natal, avant de poursuivre ses études secondaires à Oran. Par la suite, il étudia la littérature arabe, le droit, la philosophie et la géographie à l'université d'Alger. Avec le soutien du professeur Louis Massignon, il a pu préparer l'agrégation en langue et littérature arabes à la Sorbonne. Il enseigna par la suite dans plusieurs universités, et en 1980, il est nommé professeur à la Sorbonne nouvelle-Paris III. Parmi ses principaux ouvrages, "Histoire de l'islam et des musulmans en France du Moyen-Age à nos jours", un ouvrage encyclopédique qui raconte une histoire commune et millénaire, auquel avaient participé de nombreux historiens et chercheurs. Il était également l'auteur de plusieurs autres ouvrages dont notamment "l'islam, religion et société", "l'islam, hier et demain", "l'humanisme arabe", "lectures du Coran", "l'islam, morale et politique", "Pour une critique de la raison islamique" et bien d'autres publications et contributions dans ce domaine. L'université d'Exeter (Royaume-Uni) lui attribua ensuite le titre de docteur honoris causa et, en 2001, il fut invité à donner les "conférences de Gifford" à l'université d'Edimbourg (Ecosse), un des honneurs les plus prestigieux permettant à un chercheur de grande renommée de contribuer à l'avancement de la pensée théologique et philosophique. Il reçu, en 2002, le 17e "Giorgio Levi Della Vida Award" pour l'ensemble de ses contributions dans le domaine de l'étude islamique et, en 2003, le Prix Ibn Rochd.

Mme Toumi : "Un authentique messager de la paix"
La ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, a indiqué hier que le penseur et islamologue Mohamed Arkoun, était de "par sa sincérité et son dévouement pour le rapporchement des peuples et des religions, un authentique messager de la paix ". Le qualifiant de "visionnaire accompli", d'intellectuel, de philosophe et d'historien de l'islam, Mme Toumi a rappelé, dans un message de condoléances, qu'Arkoun était "l'auteur d'un bouquet d'ouvrages de référence dans le domaine de la pensée critique ayant dispensé son enseignement dans les plus prestigieuses université d'Orient et d'Occident".
Elle a ajouté que le défunt "croyait au dialogue des cultures et des civilisations dont il était un fervent militant" et que "sa sincérité et son dévouement pour le rapprochement des peuples et des religions ont fait de lui un authentique messager de la paix et de la concorde intercommunautaire". "Notre respect pour lui est total et sans fin. Sa sagesse et son savoir continueront (...) à guider des générations d'hommes et de femmes aussi bien dans son pays l'Algérie que partout dans le monde", a ajouté la ministre.

(Source :www.elmoudjahid.com)

mercredi 1 septembre 2010

La princesse Hind El Fassi est décédée


Hind El Fassi, la princesse saoudienne d’origine marocaine, est décédée samedi au Caire en Égypte des suites d’une maladie selon le communiqué diffusé par sa famille.

Epouse du prince Turki Ben Abed Al Aziz, demi-frère du Roi Abdallah Bin Abdel Aziz, Hind El Fassi vivait au Caire depuis près de 30 ans avec son mari et ses deux enfants.

Le frère de la défunte, Allal El Fassi, aurait été empêché de voir une dernière fois la dépouille de sa sœur dans la clinique où elle est décédée, d’après un communiqué qu’il a lui même diffusé quelques heures après sa mort. Le prince demande une autopsie et accuse le mari de sa sœur, le prince Turki, et ses trois fils d’avoir assassiné la princesse Hind.

Cette accusation a été démontée par le rapport médical communiqué juste après sa mort, qui indique que la princesse Hind El Fassi serait décédée d’une mort naturelle.

(Source :Bladi.net)